10 Octobre 2013
Il y a 8 mois , je suis intervenu longuement pour dire que les problèmes de sécurité à Draguignan ne pouvaient se traiter qu’avec une approche à la fois globale et analytique.
Globale car toutes les situations de délinquance ne sont pas identiques et analytique car chacune demande une réponse adaptée. Que ce soit les caméras, le renforcement de patrouille de police, ouverture d'un local pour un présentiel possible , ….les médiateurs autant de moyens au service de la prévention qu'au service de la répression.
Il ya 8 mois, vous aviez motivé votre choix d' installer une vidéo surveillance dans la rue de la visitation et Arménie en expliquant que suite à la fermeture de l’unique commerce existant dans cette rue , cette dernière était devenue une échappatoire pour un groupe de jeunes qui provoquait un sentiment d’insécurité pour les Dracénois qui se promenaient.
8 mois après, la pose de la vidéo surveillance est toujours d’actualité.
Merci de nous communiquer le nombre de délits ou « sentiments d’insécurité » ou remontées des « promeneurs entre le mois de mars et septembre qui vous ont amené à maintenir votre décision. Qu’en est-il du local qui parait être un élément central dans votre décision d’installation d’une caméra ? est-il à nouveau occupé? oui / non, S’il n’est pas occupé, en cohérence avec votre analyse qu’avez-vous pu envisager de faire pour que son occupation soit une réponse au problème de délinquance ?
Patrick Boulet